Bombardée de demandes d’entrevue et sollicitée pour des concerts privés aussi loin qu’en Italie et au Qatar, la Québécoise Gabriella arrivait à garder la tête froide, mercredi, après son triomphe sur le plateau d’America’s Got Talent, mardi soir.
• À lire aussi: [VIDÉOS] America’s Got Talent: les Québécois épatent les juges
• À lire aussi: [VIDÉO] La Québécoise Gabriella a fait un malheur à America’s Got Talent
Cinq ans après avoir vécu la célébrité instantanée que lui avait procurée sa participation à The Voice, en France, l’artiste de 28 ans se dit mieux armée pour faire face au tourbillon médiatique et à l’avalanche de commentaires sur les réseaux sociaux qui suivent une performance réussie devant des millions de téléspectateurs.
« Il faut en profiter parce que ça s’estompe rapidement. C’est une excellente carte de visite qui va me donner un bon coup de pouce et peut-être que les médias vont plus s’intéresser à mon troisième album », a-t-elle confié au Journal.
En attendant, son téléphone ne dérougit pas. Elle a enfilé les entrevues avec les médias québécois toute la journée, mercredi, et des articles à son sujet ont été publiés dans le Billboard et le journal Metro, au Royaume-Uni.
Ce dernier s’amusait d’ailleurs à souligner que Gabriella a reçu une ovation après avoir chanté Goodbye My Lover, de James Blunt, à la populaire télé-réalité de NBC, après avoir été écartée du concours Destination Eurovision, en 2019.
« J’ai déjà des demandes pour faire des mariages un peu partout dans le monde. Je viens tout juste d’en recevoir une du Qatar. Je ne sais pas si je vais y aller, mais c’est le fun que les gens pensent à moi », a-t-elle raconté au micro de QUB radio.
La suite ?
Même si tous les juges – Simon Cowell, Sofia Vergara, Heidi Klum et Howie Mandel – ont voté oui, le retour de Gabriella à America’s Got Talent n’est pas assuré. Les producteurs refont une sélection parmi les candidats qui ont réussi leur audition.
Encore là, Gabriella prend la chose avec philosophie. Son objectif était de faire une bonne première impression.
« Il faut être patient et s’attendre à des rebondissements », dit-elle.
Après tout, c’est l’industrie du spectacle.
- Avec la collaboration de l’Agence QMI