Fin mars, à Évry, une jeune fille a été torturée et violée par trois mineurs étrangers dans des conditions abominables. Le motif de ce crime ignoble : la jeune fille était française et « les Français sont tous des fils de pute ». Bien évidement, aucun média officiel n’a repris cette information pour le moins scandaleuse…
Le jour où une jeune magrébine se fera violer et torturer, en France, par une bande d’adolescents racistes qui justifient leur tournante par l’origine arabe de la victime, le pays sera sous le choc : Unes des journaux et des JT, éditos indignés sur le retour de la bête immonde, marches de solidarité contre le racisme, groupes féministes sur tous les fronts, déclarations larme à l’œil de nos ministres préférés et unité nationale contre les fachos et autre racistes.
Quand il s’agit d’une française, blanche, qui se fait violer par trois frères turcs et un ami marocain, tous mineurs, aucun journaliste n’estime que l’affaire mérite d’être évoquée. Comme quoi, on n’est pas tous égaux devant la lutte antiracisme…
L’affaire s’est déroulée à Évry, un samedi soir. Une jeune fille de 18 ans sort du RER, seule et blanche. Elle se fait alors alpaguer par 4 jeunes chances pour la France qui se jettent sur elle et l’embarquent de force dans un parc désert. Là ils volent tout ce qu’elle possède, avant de la violer à tour de rôle, de la frapper à de nombreuse reprise, de lui uriner dessus et de la laisser pour morte, ensanglantée et nue.
Évidement, les jeunes sont étrangers, mineurs et majoritairement récidivistes : trois frères turcs et un amis marocain (deux ont 13 ans, un 15 et le plus âgé 17). L’ainé est sorti de prison 6 mois plus tôt, sans contrôle, après avoir seulement purgé les deux tiers d’une peine pour …viol ! Justice Taubira quand tu nous tiens (ou plutôt nous relâche). Deux autres de ces chances pour la France avaient déjà été interpelées pour vol avec violences.
Interrogés par la police, les jeunes ont tous avoué sans honte qu’ils n’auraient pas fait ça à une turque, justifiant leurs actes barbares par le fait que « les Français sont tous des fils de pute ». La justice a bien du se rendre à l’évidence et, en plus des accusations de viol en réunion et de barbarie, elle les a également inculpés pour racisme.
En même temps, on connait le traitement réservé aux femmes dans nombre de pays méditerranéens : avec le relativisme de nos médias, de notre gouvernement et de l’éducation nationale qui veut que toutes les civilisations et toutes les cultures se valent, il est normal que ces jeunes estiment que leurs pratiques à l’égard des femmes sont tout à fait honorables. N’est -il pas raciste de dénoncer les lapidations et les viols ? Chaque culture se vaut après tout. C’est pas parce qu’on les accueille chez nous qu’ils doivent s’adapter à nos us et coutumes, d’ailleurs les maires qui mettent du porc au menu des cantines ne sont-ils pas d’abominables fascistes racistes et xénophobes ?
Encore une fois, il est hallucinant de constater le silence gêné de nos bons journalistes idéologues. A l’exception de Valeurs actuelles, pas un journal n’a osé évoquer les vérités de ce fait divers qui illustre pourtant notre situation. Les principaux sites d’actualité ont repris l’information, se contentant d’évoquer un viol, mais sans parler de l’accusation de racisme, ni de la nationalité des agresseurs… Comme la justice et la médecine, en France le journalisme aussi est à deux vitesses. Que ces manipulateurs aux ordres du palais ne s’étonnent pas de ne plus vendre leurs feuilles de choux. Ils ne vivent désormais plus que des subventions et de mécènes (Bergé, Pigasse) qui veulent pouvoir rendre service aux copains du gouvernement. Quand l’état ne fera plus semblant d’avoir les moyens de financer ces rats, ils creveront, mis à mort par la liberté de l’internet. On attend ce jour avec impatience.
Gageons que comme pour les Femen, l’engagement de haine envers la France sera récompensé par de jolis papiers et par la nationalité française accordée à ces trois jeunes victimes de l’intolérance et du racisme de la France et de ses français de souche (puisque le racisme des autres ne compte pas).
Cette affaire que tous tentent de faire passer sous silence est effectivement symptomatique de la situation dramatique de notre pays à plusieurs niveaux : le laxisme de la justice Taubira, qui relâche toujours les violeurs et tueurs de demain ; l’absurdité et la manipulation idéologique qui se terrent derrière la lutte antiracisme en France (et ailleurs) avec un déni du racisme anti blanc et anti français ; la soumission des médias à cette idéologie qui leur fait perdre toute objectivité et toute conscience professionnelle ; le problème d’intégration des étrangers qui haïssent la France et à qui personne ne demande de se soumettre à nos règles ; la malhonnêteté de nos gouvernants, qui manipulent les faits divers qui les arrangent en oubliant ceux qui ne correspondent pas à l’idéologie de leur électorat.
De la même manière, il faudrait faire comprendre à nos élites bien pensantes que le racisme, en France, comme la misogynie, l’homophobie et surtout l’antisémitisme, est un fléau qui se propage plus largement à Saint-Denis et à Bobigny, chez les chances pour la France, que chez les français de souche…