En regardant Toulouse jouer, en écoutant ses coaches et ses joueurs parler, on a fait le rapprochement avec un autre sport, le football. Et on a repensé à ces clubs ambitieux qui rêvent d'Europe ou de titres, mais qui se prennent rapidement les pieds dans le tapis. Les défaites s'accumulent. Et ils sombrent inexorablement dans la crise, sans pouvoir en sortir, car ils ne sont pas programmés pour souffrir. Certes, Toulouse ne joue pas le maintien, et comme le dit l'ouvreur du jour Thomas Ramos : « On n'est pas derniers... » Non, pas derniers, mais pas loin, à force de perdre, d'être éjectés du groupe des six premiers puisque le Stade n'a plus que trois points d'avance sur Paris (7e).
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