Tenant seul en position de parking, il n'est pas pourvu de socle ou de support mural.
Le montage est plutôt simple et ressemble à celui d'un aspirateur-balai. Le manche est livré en deux parties à assembler à l'aide d'une épaisse vis, opération facile et rapide.
Lors de la première utilisation, il faudra laisser le balai chauffer durant une quinzaine de minutes au lieu des 30 s promises. Ce délai est nécessaire pour que l'eau soit transférée du réservoir à la chaudière. L'opération peut sembler simple mais pour pouvoir aspirer ou utiliser la vapeur, il faut basculer l'appareil en position d'utilisation, en penchant le manche. Le tenir pendant 15 minutes n'est pas bien pratique. Nous nous en sommes sortis en l'installant contre un mur loin de nous ! En effet, en plus de devoir être basculé pour fonctionner, la chauffe fait du "boucan" et "cliquette" à intervalles réguliers.
Au-delà de cette première utilisation, la promesse d'un démarrage en 30 s est tenue et cette rapidité est assez appréciable, d'autant que le réservoir n'est pas sous pression. De ce fait, il est possible d'éteindre l'appareil et de remplir le réservoir une fois vide sans attendre, ce qui est bien pratique.
L'aspiration ou la vapeur se stoppent en relevant le manche et en installant l'appareil en position de parking. Hoover aurait tout simplement pu prévoir une gâchette ou mieux, un bouton de démarrage placé au niveau du pouce et accessible plus simplement. Pour l'atteindre, il faut tendre le bras, puisque le bouton de démarrage est tout en bas du manche, au-dessus des collecteurs.
Si globalement le SteamJet semble assez costaud, parfois lorsqu'on monte ou descend le manche, un craquement se fait entendre qui n'a rien de rassurant. De plus, on remarque que pour que la position de parking soit bien stable il faut relever le manche bien droit.
Ce produit est filaire. Ne vous attendez pas à trouver une batterie, il nécessite d'être branché pour fonctionner. Il faut y voir le côté positif : il est toujours prêt à fonctionner. Le câble est relativement long (7 mètres), ce qui procure une certaine liberté de mouvement. Revers de la médaille : on nettoie avec un câble dans les pieds.
Le SteamJet tient debout seul. Assez massif, il est aussi assez lourd et sa position de parking est relativement stable. Un socle est inutile, contrairement à son absence que l'on regrette sur certains aspirateurs-balais.
Sur le corps de l'aspirateur, deux crochets permettent d'enrouler le cordon pour faciliter son rangement.